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1/01/2009

Radio France Internationale Outcompeted from Major Markets

According to a story published by Le Point on 11/12/2008, Radio France Internationale is losing out in most countries to other global players such as Deutsche Welle, BBC and Voice of America:

Rien ne va plus à RFI ! La station publique a de plus en plus de mal à faire entendre sa voix, en dépit des 465 journalistes assurant une mission d'information partout dans le monde en vingt langues. Le budget est en déficit "dont plus de la moitié concerne la masse salariale", soulignait, mardi 2 décembre, Alain de Pouzilhac, son pdg, interrogé par la commission des affaires culturelles du Sénat. Sans que le terme soit évoqué, la réforme entreprise semble mener directement vers un plan social.

En tout cas, dans un premier temps, certains services vont être restreints. C'est ainsi que, sur vingt langues, six (l'allemand, l'albanais, le polonais, le serbo-croate, le turc et le laotien) sont appelées à disparaître le 31 janvier 2009, faute d'une audience suffisante. Le service russe sera, quant à lui, maintenu uniquement sur Internet. Alain de Pouzilhac souligne qu'en Europe le taux d'audience de RFI est compris "entre 0 et 1 %".

Christine Ockrent, directrice générale de RFI, assume la restriction du service de RFI en Europe et propose de concentrer les forces de la station sur l'Afrique, où la station jouit "d'une expertise reconnue" et d'une couverture globale grâce à trois langues (anglais, français et portugais). Cette stratégie de repli en Europe suscite de vives réactions. Une pétition circule contre l'arrêt de la diffusion de RFI au pays de Poutine. Parmi les signataires, l'ancien dissident soviétique Vladimir Bukovsky et le phi losophe André Glucksmann protestent contre l'abandon de l'une des dernières sources d'information défendant les valeurs de la démocratie. Les auteurs de la pétition soulignent qu'Internet est loin d'être la panacée, car Moscou bloque les moteurs de recherche. RFI sur le Net diffuserait donc dans le vide...

Donner une "image positive" de l'Afrique

Bernard Kouchner, le compa gnon de Mme Ockrent, n'est plus décisionnaire depuis que RFI a été rattachée à un holding dépendant de Matignon, et donc de François Fillon. Mais que faire ? Les faiblesses se sont multipliées tant le Quai d'Orsay (autrefois chargé de RFI) a laissé, au fil des années, pourrir la situation. Qu'on en juge : même en Afrique francophone, le marché le plus puissant de RFI, la station peine à exister face aux radios locales de la BBC. Son taux d'audience, jadis de 30 %, a reculé pour ne plus peser que 20 %, selon les chiffres avancés par Alain de Pouzilhac. Pour endiguer ce recul, Christine Ockrent propose "d'élargir le champ des sujets traités à de nouveaux domaines" donnant une "image plus positive de sociétés africaines en pleine transformation". Et la directrice générale de donner deux exemples : "la place de la femme" et "le rôle du microcrédit".

Le plan de redéploiement de la station bute cependant sur un problème financier. Les crédits publics de l'audiovisuel extérieur (298 millions en 2009) devraient baisser de 30 millions d'euros d'ici à 2011... "Incompatible avec les objectifs de la réforme [lancée par Sarkozy en juillet 2007]", prévient le sénateur centriste Joseph Kergueris, auteur du rapport sur le sujet. Mais où trouver les sous quand les caisses sont vides ?
Link to the story

9/18/2008

French Teaching Vanishing From Turkish High Schools

Ein geschichtliches Panorama des Deutschen als Fremdsprache in der Türkei by Ayten Genç:



Das führte aber nicht dazu, daß die Anzahl der Deutschlernenden in der Türkei zunahm. Allerdings kam es in der Wahl von Französisch oder Englisch zu wichtigen Veränderungen: Die Anzahl der Schüler, die Französisch wählten (38,4 Prozent), nahm, die Anzahl derer, die Englisch lernten (53 Prozent) zu. Somit veränderte sich die fremdsprachliche Situation zugunsten des Englischen und nicht des Deutschen. Aber es ist zu bemerken, daß die Anzahl der Deutschlerner (8,6 Prozent) im Vergleich zu den früheren Jahren anstieg. Man erkennt also, daß in den 70er Jahren das Englische den Konkurrenzkampf mit dem Französischen gewann, und im Schuljahr 1971-72 wurde Englisch von weit mehr als der Hälfte der Schüler (67 Prozent) gewählt, Deutsch hingegen nur von 10 Prozent. Bemerkenswert ist auch, daß die Anzahl der deutschlernenden Schüler im Gegensatz zu den 60er Jahren zunahm...
Im Schuljahr 1976-77 wählte der größte Teil der Anadolu-Schüler Englisch (56,6 Prozent). Im Vergleich zu den Englischlernenden und Deutschlernenden war die Anzahl der Französischlernenden (14,5 Prozent) nicht so hoch. Die Anzahl der Deutschlernenden (28,9 Prozent) war halb so hoch wie die der Englischlernenden. Aber es fällt auch auf, daß sich diese Situation im Laufe der Jahre änderte. Man kann feststellen, daß im Schuljahr 1977-1978 die Anzahl der Englischlernenden (67,2 Prozent) zu- und die der Deutsch- (23,4 Prozent) und Französischlernenden (9,4 Prozent) abnahm. Diese zugunsten des Englischen veränderte Situation beeinflusste besonders den Rückgang des Französischen (siehe Tabelle 3)....
Die Nachfrage nach Französisch, das seit dem Osmanischen Reich in den Schulen angeboten und gelernt wurde, ging ab 1980 zurück, und so rückte das Deutsche auf den zweiten Platz. Im Schuljahr 1989-90 lernten 85,5 Prozent der Schüler Englisch, wohingegen 9,3 Prozent der Schüler Deutsch und 5,2 Prozent Französisch lernten (siehe Tabelle 2).
Zu diesen Daten gehörte auch die Anzahl der Anadolu Gymnasiasten. In diesen Schulen lernten 11,2 Prozent der Schüler Deutsch, 3,2 Prozent der Schüler Französisch, 85,6 Prozent der Schüler Englisch (siehe Tabelle 2). Diese Tendenz setzte sich auch in den 90er Jahren fort. Die Nachfrage nach Französisch und Deutsch ging zugunsten des Englischen zurück. Betrachtet man Tabelle 1, kann man ein wachsendes Interesse am Englischen und demgegenüber einen rapiden Abfall des Interesses am Deutschen und insbesondere am Französischen erkennen. Besonders katastrophal ist die Situation des Französischen als Fremdsprache (siehe Tabelle 2 )

Münster – PALM 26/2006